Libre arbitre

On vit une drole d'époque quand meme

Je crois que avec internet in aura jamais autant pu donner aux gens la parole. Ce qui est trés bien, ce qui pourrait etre un véritable moyen d'expression meme subersive dans une société toujours plus controllée, mais s'en sert on bien?

Il y a la une source d'information incroyable, et je trouve toujours dommage le manque de connaissance et surtout de curiosité des gens ( et on en lit des énormités en ligne, alors que bcp bcp de choses sont la à portée de main) si encore on se faisait humble. Mais non, l'arrogance est plus que jamais de mise, chacun dans son petit monde a avoir raison. (mais souvent en groupe Et cela, meme quand on en fait pas partie, les voix les plus fortes raisonnant chez chacun pour une raison x, ce qui n'est pas d'aujourd'hui cela dit.) Mais avoir raison pour qui ou ou pour quoi? est on sur que notre pensée elle meme est vraiment individuelle (et la ce serait légitime) ou que le faute à un manque de connaissance elle est faite de préjugés, d'idées toute faite? (qui se démontent trés facilement, si on fait l'effort d"aller à la rencontre de la vérité, ou des vérités )

c'est comme ça aussi qu'on voit se produire des phénomenes assez fascinant (mais triste en meme temps) on en vient pour certains (peut etre en réactions) à célébrer le passé d'une maniere outranciere en se mettant des oeilleres sur ce qui peut se faire et par ailleurs on a une génération qui ne jure que par l'instantannée, qui un jour célèbre un film ou un acteur, et le lendemain a tout oublié si ce n'est que bon, médiocre quand meme tout ça finalement.

Bien entendu tant qu'on parle de cinéma ce n'est pas si grave (mais ca en crée des débats non sensique, ininteressant, et agaceant parfois) mais on parle quand meme de symptomes qui forcément se répercutent dans d'autre domaine bien plus importants.

N'y a t'il pas là une remise en question à se faire sur son attitude au jour le jour?

Citation :

c'est comme ça aussi qu'on voit se produire des phénomenes assez fascinant (mais triste en meme temps) on en vient pour certains (peut etre en réactions) à célébrer le passé d'une maniere outranciere en se mettant des oeilleres sur ce qui peut se faire et par ailleurs on a une génération qui ne jure que par l'instantannée, qui un jour célèbre un film ou un acteur, et le lendemain a tout oublié si ce n'est que bon, médiocre quand meme tout ça finalement.

Ca c'est flippant.
Les mecs sont conditionnés, par des modes, par des mouvements. Et je crois qu'en l'occurrence on peux dire que ces gens n'ont plus beaucoup de libre arbitre.
Ce n'est même plus leur avis, ils ne font que suivre.

Flippant d'ailleurs quand on se retrouve face à un mec qui est en train de littéralement réciter du Rafik Djoumi ou du Yannick Dahan (Bishop from avalon d'Allociné, le plus bel exemple )
Voir comment ces mecs n'ont même plus d'avis propres et vont juste ressortir les mêmes arguments que leurs "modèles" sans un grain de recul, sans même avoir d'opinion finalement (et ils le croient pourtant)
C'est surement pas aidé par le comportement de personnes comme Djoumi ceci dit (avec son arrogance et son communautarisme de merde)

Je crois qu'on est parfois face à des gens tellement soucieux de briller (sur le net ) qu'ils sont prêt à suivre le mouvement qui leur semble cool, ou le mec qui les impressionne.


Le pire évidemment c'est que là on parle juste de cinéma, mais malheureusement on retrouve cette attitude ailleurs et là...

C'est un peu le pendant de la wikipedisation du savoir.
Pour que ce que tu apportes soit accepté par un groupe, il est préférable de parler en référence à.

Et le problème c'est que ce qui s'appliquait à des notions (je ne sais pas imaginons que je parle des applications industrielles de films de cristaux liquides pour cellules solaires organiques, que je me référence à des personnes qui ont bossé la question n'est pas illogique), à fini par contaminer les opinions (et c'est là que les difficultés se posent, si on référence son opinion à, d'autant plus si on la référence toujours à la même source, s'agit-il vraiment de son opinion ?).

Finalement aujourd'hui pas la peine que je défende un film avec une opinion construite, une argumentation travaillé si Télérama (ou Djoumi ou Dahan ou Mad) a dit que c'était tout pourri (et ça marche à l'inverse, encore mieux à la limite).