Avant on avait la répétition picturale comme procédé narratif dans a peu près tous les films de Malick (jusqu'à la nausée dans Tree of Life) et maintenant on a la répétition picturale d'un film à l'autre qui donnera plus de prise que jamais aux critiques d'auto-complaisance qui lui sont adressées depuis un moment.
D'autant que pour ce qui est du propos là encore il a l'air de beaucoup se répéter, avec de moins en moins de subtilité.
Pas hâte perso.