Le Joker de Todd Phillips avec Joaquin Phoenix

Dans deux jours, maybe pour moi, excitation level maximum et vous?  

dans 2 jours j'aurai la gueule dans le cul et complètement bourré, de là à parler d'excitation, je ne sais pas
On verra semaine pro mais je reste curieux de voir le truc qui même s'il ne me plait pas va de par tous ces premiers retours vraiment permettre un bon vent de fraîcheur aux adaptations de comics

(et Ad Astra t'étais bourré du coup, pas de retour? )

Pas pu m'empécher d'écouter le début du soundtrack ...wow

ah intéressé elle est dispo où ? (mis à part dans mon cul)

https://www.youtube.com/watch?v=f4RJLJ8BfoI&list=PLBKadB95sF45I8ypDP8cYu5glfXTT0FyH&index=1

cimer albert

Je t'en pries Bicu

j'aime beaucoup ce que j'entends
très western et pesant

Ah tiens Western? Pesant ca, je l'ai bien ressenti, j'ai pensé à Requiem for a dream

Pour l'attente, j'ai lu un internaute qui a comparé le film à Requiem for a dream justement, et The Road

sur les 2-3 premier morceau je trouve, après on sent aussi une note je trouve assez 80 début 90 musicalement, et ce coté pesant suffoquant
je trouve le score plutôt cool

Ok ok, je reecouterais ( t'etais bourré? )

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Uneeuh claquuue!  

Tétanisant...malaisant....et surtout extrêmement triste....

Le portrait d'un pauvre type désespéré qui sombre dans la folie...mais aussi celui d'une société à la derive...

Un film important ( et j'ai envie de dire necessaire ) qui a pas fini de faire parler de lui. ( en tous cas, comptez sur moi )

Ps: Evitez les spoilers.

Bon, vous allez le voir dans les prochains jours, et je ne vais pas spoiler, ou trop en dire, mais c'est tout de meme le genre de film ou il est difficile pour ma part de la fermer.    

Alors, comme vous le savez j'ai beaucoup beaucoup aimé.  

On nous avait promis un film dans la mouvance des drames urbains des années 70 et c'est le cas.  La retranscription urbaine est bluffante et magnifiée : la photo est sublime, avec de beaux contrastes, et le cadre est extremement détaillé. on a quasiment l'impression d'etre dans l'univers de Taxi Driver (et le film lui emprunte pas mal, ainsi qu'au King of comedy, mais pas que) Ca sent la rue, étouffante, isolant les hommes.

On nous avait promis donc une étude de personnage de cette trempe, et c'est le cas non seulement, sans surprise Phoenix est génial ( mais il m'a surpris tout de meme, par les nuances hallucinantes et la profondeur et bien sur la singularité qu'il apporte au personnage ) la collaboration Phillips/ Phoenix et Silver est juste ahurissante :  On a un personnage qui vit extremement du conflit, pour lequel j'ai eu donc bcp de peine.  Un type qui a pas eu de bol, et qui essaye pourtant de faire au mieux, avec ce qu'il a qui a un but loin d'etre négatif . Et ce qu'il a c'est...disons que  c'était trés mal parti pour lui part à la toute base.

Spoiler:

Sa descente dans la folie va se faire alors graduellement, au rythme lent d'une musique (magnifique de Hildur Guðnadótti ) aux accents de violons, grincant, en ajoutant à la douleur communicative et à la noirceur inquiétante qui envellope graduellement le film et le Tayelore au passage   ... Phillips isole souvent son personnage dans le cadre,  le montre avec le concours de MOssieur Joaquin Phoenix, comme un homme solitaire meme entouré,  qui à chaque mouvement pour s'élever (meme physiquement ) fait un effort incommensurable. Jusqu'au moment ou disons le, ca part en vrille. Ils nous en font alors un homme  qui acceptant sa douleur, en fait une force, devient libre...avec une partie de lui qu'il retranscrit aussi, comme des danse macabres et poétique. Car c'est aussi une des forces du film : il y a un mélange de ton assez étonnant, de la pure poésie  donc qui accompagne la violence et la tension ( extremement présente)... mais aussi un humour noir et absurde qui ponctue tout autant des scenes extremement dramatique ( et choquante )  

le film est cela dit relativement linéaire pendant une bonne partie, quelques moments sont plutot jusqu'à la mi métrage prévisible, ses références cinématographique et des bandes annonces plutot explicites aidant. C'est un repproche qu'on pourra refaire un peu plus tard dans le film, ca avec quelques moments qu'on peut trouver répétitif, mais qui je crois participe à ce coté lancinant, souffrant... car quand bien meme, le portrait de Arthur Fleck est tellement réussi, on peut tellement avoir de l'empathie pour lui mon envie était qu'il trouve le salut, qu'il ne déraille pas un peu plus encore... d'autant plus que quelques sous histoires viennent compliquées le tout, avec des twists qui mind fuck un peu plus et le personnage et les spectateurs. Ce qui permet également de lire le film de plusieurs maniere. Et notamment pour son écho socio politique. Arthur Fleck Le Joker n'est pas un personnage politisé, mais qu'il le veuille ou non ( à voiiir donc le film ) le contexte du film pose clairement les choses : une guerre des classes est en cours, et Arthur est au milieu, lui meme issu d'un milieu défavorisé. Phillips ne choisira jamais son camps réellement,

Spoiler:

il s'agit de toutes les façons avant tout, d'observer comment un homme dans ce contexte peut d'autant plus sombrer dans la folie. Et de nous immerger dans son univers mental dérangé

Spoiler:

Le plus grand film comics books depuis The dark knight, un des plus grands film de ce début de millénaire  



(ouiii; quelques jours plus tard, le film me hante toujours autant, donnc on réhausse    )

Allez, séance pour éviter de me faire spoiler.
De toute manière si y a pas batman c'est dla merde !!

Bon film Bicu!!

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bon ok gros coup poing dans la gueule.
Tay en a très bien parlé
le film est superbe graphiquement, ça transpire le reconstitution de NY, les plans fourmillent de détails
le film est anxiogène, pesant, lourd et dépressif.
Il est bien une sorte de miroir de notre monde donc clairement on est pas là pour rire
La bande son est nif rien à redire, elle participe à mettre en valeur toute l'image et l'ambiance du film dans lequel on se trouve.
Bon tout le monde est d'accord pour dire que Joaquim phoenix est juste incroyable à réussir à délivrer une interprétation différente de ce qu'on connait, d'y donner de l’empathie à son personnage et d'y mettre de la folie dérangeante

j'avoue avoir été bluffé par le réal en qui je n'avait pas confiance sur le projet. J'aime avoir tord pour ce type de raison

Le dernier quart est assez intense je trouve, fou, dur, violent (j'en ai du des frisson

Spoiler:

Le scénariste et lui on parfaitement compris ce qu'était et représente le joker sur tout le film

Spoiler:

.


Très envie de le revoir et je sens que je vais passer quelques nuits à y songer car il ne laisse pas indemne



petite pensé à heath ou j'ai eu l’impression de le voir dans le visage de joaquim le temps d'une scène

Spoiler:

Youhouuuu, welcome to nightmare lannnd

Bonnne critiquuue msieuur, ca me donne envie de le revoiiiiir

alors tay tu la vois comment

Spoiler:

?

ps:

Spoiler:

J'ai eu envie de relever toutes les thématiques du film, le film étant super riche, on a donc :

Spoiler:

si j'en oublie?