Robin des bois /Russel Crowe Riddley Scott - Premières critiques

Citation :

http://www.comingsoon.net/news/movienews.php?id=61633

mouais,moyennement convaincu par ce trailer.déjà la musique utilisée...Et je n'ai pas l'impression de retrouver le Robin des Bois que je connais.
ça peut être sympa.mais je reste toujours dans le vent de celui de Kevin Reynolds,qui je trouve n'a pas spécialement vieilli.

wait and see

Yop? , j'avais trouvé cité sympa, mais un peu kitchos a mon sens le Reynolds, et surtout trop formaté.(puis c peut etre aussi que Reynolds a tellement fait mieux et plus singulier)

bon la bande annonce pour moi est pas formidable, meme si il réinvente pas son style non plus
les images sont un peu plus riches que ce que je vois chez Scott dernierement ..

Visuellement ça semble assez soigné. Ca bastonne beaucoup, comme dans toutes les bandes-annonces en même temps (et c'est un penchant que je commence à trouver une peu pénible pour être honnête), mais au final je suis vraiment curieux de voir de quel façon Scott se sera réapproprié le mythe.

Reste que j'aurais été définitivement plus intéresse de voir ce qu'un Bale aurait pu faire du rôle titre. Le choix de Crowe (même si bon hein ) me passionne beaucoup moins au final.

International Trailer :

http://www.comingsoon.net/news/movienews.php?id=61755

http://uk.movies.yahoo.com/features/exclusive/

c'est parti pour une version définitive en VF.plus convaincante déjà.on retrouve déjà plus l'esprit de Robin des bois tel que nous le connaissons,même si l'espèce de bataille énorme sur le bord de mer me parait inappropriée.

Ridley Scott attend l'accord d'UNIVERSAL pour convertir son film en 3D.une demande qui se traduit par une augmentation de budget de 7 million de dollars.
Le problème étant que le film sort le 19 mai chez nous (et plus tôt aux US).Du même acabit,Louis Leterrier a consulté James Cameron afin d'envisager l'option 3D pour son CHOC DES TITANS,alors que la WARNER a validé la proposition sans émettre de doutes.Malheureusement,le film sortant en avril chez nous (fin mars aux US),les délais sont trop justes pour que cela se fasse.
Il faut donc s'attendre à ce que cela tombe aussi à l'eau pour Scott,car un mois de différence par rapport à Leterrier,ce n'est pas grand chose après tout.Surtout que pour lui,la prod y réfléchit encore.

pour ma part,je ne vois pas vraiment ce que cela apporterait au film.

affiche officielle (un petit air de GLADIATOR dans le regard de Crowe je trouve;pas très novateur)

Je ne suis pas non plus complètement convaincu par le trailer mais je pense que j'irais tout de même voir le film

http://www.aintitcool.com/node/43779

Première critique.

C'est plutôt un résumé, il ne donne pas vraiment son avis, non ?

Tv spot


http://movies.yahoo.com/feature/robin-hood.html?showVideo=1

Citation :

New Trailer For Robin Hood

https://cinefeeling.1fr1.net/dans-quelque-temps-dans-les-salles-f1/robin-des-bois-russel-crowe-riddley-scott-bande-annonce-t53.htm

Critique positive d'écranlarge:

Citation :

Robin des bois ou la suite indirecte de Gladiator ?
Robin des bois est au Moyen-Âge ce que Gladiator était au péplum ? Les points de comparaison entre les deux films s'imposent d'eux-mêmes, malgré la décennie qui les sépare et les trois autres collaborations entre Russel
Crowe et Ridley Scott (Une grande année, American Gangster, Mensongesd'Etat). L'acteur et le réalisateur les revendiquent d'ailleurs,
taclant au passage les autres adaptations. Robin des bois, prince des voleurs avec Kevin Costner est un long clip de Bon Jovi pour Russell Crowe, et Sacré Robin des bois de Mel Brooks, la seule version potable selon Ridley Scott.

Ici, le titre de Robin des bois serait pourtant presque mensonger ou trompeur, puisqu'il n'y ait question que de Robin Longstride. Derrière la légende, l'homme. Comment un simple archer est devenu une figure mythique de la liberté et de la justice. A l'instar de Maximus dans Gladiator.
« Rise and rise again, until lambs become lions ! » en est le leitmotiv un peu lourdingue. Pourtant, ce n'est même pas ce film que font Scott et Crowe. En
effet, la fresque romanesque est impossible de par la nature même du héros,
guerrière, et par le contexte historique, aussi instable qu'intense.
C'est la réelle surprise de ce Robin des bois, à commencer par le scénario en béton armé de Brian Helgeland. Le script a beau avoir été réécrit, trituré, massacré (rappelez-vous lorsque le projet s'appelait encore Nottingham avec Russel Crowe dans le rôle de Robin ET du Shérif !), il reste l'essence. Et, mauvais jeu de mots, une essence capable d'embraser un pays ou d'enflammer un homme. De ce point de vue, Robin n'est ni un jeune fou et rebelle, ni un brigand au grand cœur. Il ne vole pas aux riches pour donner aux pauvres, il ne cavale pas vers sa légende. Au contraire, il est
raisonné, tactique, froid. Chaque coup de sabot de son cheval assomme, détonne... et il est toujours à cheval !

Le film a beau être d'une fluidité déconcertante, il est aussi lourd, épuisant, sale. La réalité historique trouve une expression parfaite, dure, que ce soit dans des intrigues de palais denses et complexes, des scènes d'action à 12 caméras à la Chute du faucon noir et un casting au charisme écrasant (Danny Huston en Richard Cœur de Lion, Kevin Durand en Petit Jean, Jonathan Zaccaï en Roi Philippe, Oscar Isaac en Prince Jean et même Mark Strong encore en méchant Godefroy). Il reste alors si peu de place pour les femmes, qu'il faut qu'elles soient très belle (Léa Seydoux) ou très mec (Cate Blanchett) pour exister. Robin des bois est ainsi un film malaisé (et qui sera mal aimé), un blockbuster malade, qui finalement rappelle moins Gladiator
que... attention... Alexandre d'Oliver Stone ! Monstrueux mais passionnant.

http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-13446-76761.php

Plutôt positif en effet, le film promet d'être intéressant

Je sens que ça va être un de mes coups de coeur 2010

En revanche vu sa critique il a l'air de dire que le film ne plaira pas à
tout le monde.

Xyrons a écrit:

En revanche vu sa critique il a l'air de dire que le film ne plaira pas à
tout le monde.

Mais chut toi m'enfin

SithBale a écrit:

Xyrons a écrit:

En revanche vu sa critique il a l'air de dire que le film ne plaira pas à
tout le monde.

Mais chut toi m'enfin

soyons réaliste

non ok oubliez

Ca me tente vraiment bien,je crois bien que j'airai le voir surtout que la 2ème bande annonce ma pas mal convaincue

En tout cas ce qui est sur c'est que si je vais le voir se sera pas en 3d ! ^^
Surtout au vu des extraits qui circulent sur le net.

J'ai été voir sur allo y a plein d'autres bonnes critiques de presse

Bon je vais en posté quelques unes, attendez je reviens.

Comment ça je flood? mais non !!!

Citation :

I snapped up tickets to the Tuesday night opening of the new Arclight Theater in Pasadena. The film was introduced by none other than the Mayor of Pasadena! Exciting, heh. I saw the cigarette burn on the upper right corner of the frame, so I guess it was projected in film, which I wasn't expecting.

Here's my little spoiler-less review:

In opening, I should say that I had very low expectations for this film. I'm a big fan of Ridley Scott, but he's been off his game for awhile now. This is one of those rare films where the actual movie is much better than the trailer. That's not the case these days, since trailer houses have gotten so good at making bad films look better than they are. I assure you that's not the case here.

That said, Robin Hood is one of the best epic movies I've seen in the last few years. In contrast to epics like John Woo's Red Cliff, Troy, and Clash of the Titans, Robin Hood has two Oscar winning actors in the leads, and they do a very good job. Cate Blanchett has a fabulous role as Marion, and comes together with Robin in a very interesting way.

This isn't standard revenge fare; the legend of Robin Hood begins with Robin Longstride returning from ten years of the Crusade as an archer in Richard the Lion Heart's army. He and most of the men seem disenchanted with the war, and soon it all comes to an end. Robin meets a dying man on the battlefield who asks him to deliver his family sword to his home in Nottingham. From there, he assumes a new life and identity...

I think that the success of this film can be credited to Brian Helgeland's Oscar-worthy script, which seems to have been thoroughly researched and layered. Also, Russell Crowe and Cate Blanchett do a great job as the leads. Mark Strong, Max Von Sydow and Oscar Isaac. In a way, it's quite funny to have two Australians playing the leads, and a Guatamalan/Cuban playing Prince John. I also like the Merry Men, Little John, Fryar Tuck and company. They add a nice bit of humor without going overboard.

In closing, I'd like to say that I think Robin Hood is destined to be a future classic, and it's no coincidence that the three creative minds behind Gladiator re-united for Robin Hood. And it shows...Connie Nielsen was pretty good, but she isn't Cate Blanchett. With a great female lead performance from Cate Blanchett, Robin Hood surpasses Gladiator on some levels. I personally enjoyed the British royal politics more than Commodus and the simplistic Roman parliament, which reminded me of Elizabeth. Gladiator feels like an in-your-face historic WWE movie, where Robin Hood is an elegant fusion of Braveheart, Elizabeth and Gladiator, without getting bogged down with a conventional revenge plot. Highly recommended.

Citation :

Review: Ridley Scott Aims Higher With New 'Robin Hood' A more brooding, yet believable, rendition of the character

The latest incarnation of Robin Hood comes from Universal, a studio known for high theatrics, tent-pole adventures, and classic genre films. This philosophy seems to work well with the subject matter, as Robin Hood has always been a high-concept story anyway. But this post-9/11 hero of bandits and vagabonds is also tempered by an overall seriousness that, while not completely committed to in the film, does add a new sensibility to the familiar story.

This year’s rendition of the hooded archer is directed by Ridley Scott (Gladiator) and stars Russell Crowe as the titular character and Cate Blanchett as his street-smart Marion. While the film has been flippantly described by some as "Gladiator in tights," it’s both more and less than that.

This time we follow Robin Longstride, an everyday archer in King Richard’s crusading army, who takes on the identity of a fallen soldier, Sir Robert of Loxley, in order to get home. Carrying out the late Loxley’s dying wish to give back his sword to his father, Longstride returns to the aristocrat’s homestead where his faithful wife Marion and her father-in-law Sir Walter Loxley (wonderfully played by Max von Sydow, Minority Report) have been waiting for Sir Robert’s return for years.

Sir Walter, bereft of his real child, takes Longstride in as a son until soon Robin truly does begin to fill the role of Sir Robert Loxley. He begins to oversee the lands, protect its people, even fall in love with their mistress, the toughest Marion to hit the silver screen yet, until he ultimately takes up his bow to fulfill his role as the hero we remember.

But, of course, Robin Hood’s marketing campaign promises it will tell the story of the man before the legend. In recent years, Hollywood has become obsessed with origin tales. Jaded, or perhaps simply more realistic as a society now than we’ve ever been before, American audiences seem to be increasingly tired of Superman-style heroes and 90 minutes of swashbuckling.

We want to see stories like The Dark Knight, Iron Man and Wolverine that reveal tortured souls whose death-defying feats are less works of altruistic heroics than they are a complex selfish impulse. In today’s world, we’re finally seeing that, while heroes exist, they’re impeccably flawed, and so are the people they protect. While Robin Hood is not a superhero movie, in some ways it attempts to align itself with the same zeitgeist
It might not necessarily be the film some hoped for, nor the film it could have been, but it still promises to be another stalwart addition to the Robin Hood oeuvre, and another example of old hero habits dying hard.
Crowe’s Robin Hood is thick (not the fleet-of-foot pixie that Errol Flynn, Douglas Fairbanks, Cary Elwes, or even Kevin Costner at times were); he’s scarred and wears his battle-hardened, world-weary years like a mask. He’s the quiet type, not the flippant jokester of yore. Neither is he a loyal follower in the Crusades, but rather finds himself in the stocks for criticizing his lord and master, King Richard. This version of the famed archer could not have been conceived before now.
But before we laud the attempts of Scott, Crowe and writer Brian Helgeland for their edgy portrayal of a family favorite, it’s important to remember (and as CinemaSpy reported last year) that the original story pitched to Universal was supposed to bring us Robin Hood as a true villain. The Sheriff of Nottingham — the epitome of villainy for centuries — was to be our hero. Shocking to think about, but titillating to imagine, this would have been revolutionary, particularly considering Nottingham has been synonymous with greed and corruption since the original stories in the thirteenth century. It would have also been a disturbing reflection of America’s post-9/11 cynicism.
The original ballads of Robin Hood report on a vagrant who attacked and robbed rich and corrupt government and church officials on the highways. He quickly became the symbol of the poor, hard-working and down-trodden against raging capitalists. He was the ultimate socialist. In America, it was only natural for us to accept his escapades as heroic—we are, after all, the "pull-yourself-up-by-your-boot-straps" nation. Blue-bloods and church figureheads have no place here any more than they do in Robin Hood’s world.

Critique de toutlecine.com

Citation :

Critique - Robin des Bois de Ridley Scott
Robin des bois, la fresque historique qui fait l'ouverture du Festival de Cannes. A la fois du bon cinéma et du grand cinéma populaire, un film qui prend la légende et l'histoire à revers, ou comment apporter du changement dans la continuité...

Généralement, à l’écran, les Robin des Bois se suivent et se ressemblent, tous prompts à rester dans les clous dans l'illustration de la légende de la forêt de Sherwood, à mettre en scène un Robin Loxley qui, spolié par le Prince Jean, décoche ses flèches sur le shérif de Nottingham et ses sbires, valets des riches et des puissants. En brisent la routine une version animée du mythe (chez Disney), des pastiches (une série TV de Mel Brooks et son adaptation au cinéma), une adaptation plus mélancolique ( La Rose et la flèche) portée par des héros vieillissants ( Sean Connery et Audrey Hepburn), un rajeunissement spectaculaire de l’archer (encore une série TV, très récente)… Des exceptions qui, sur le fond, ne dérogent pourtant pas à la règle.

Quand un Robin en rencontre un autre
« Et si Robin des Bois n’était pas vraiment Robin des Bois ? ». C’est sur cette question que partent Ridley Scott et Russell Crowe, point de départ à leur cinquième association. Réponse : « derrière Robin des Bois, alias Robin Loxley, se cache en réalité Robin Longstride », un archer qui ne possède aucun titre de noblesse, aucun rang particulier dans l’armée de Richard Cœur de Lion qui, de retour de la Troisième Croisade, ferraille contre les Français. Entre deux assauts contre une citadelle, le Roi fait un exemple : il punit Robin Longstride et une poignée de bagarreurs de sa trempe. Une dernière démonstration d’autorité avant de mourir. Désormais livrés à eux-mêmes, déserteurs par la force des choses, Lonstrigde et ses trois complices de croiser le chemin de la délégation décimée de Robin Loxley, messager à l’agonie du souverain, mortellement touché par les soudards du traître Godefroy. Avant de rendre son dernier souffle, le second Robin fait jurer au premier de prendre son identité pour mieux veiller sur sa femme Marianne, son vieux père et son domaine. Et il tiendra sa promesse, sur fond de couronnement de l’imprévisible Prince Jean, de tentative d’invasion de l’Angleterre par les troupes françaises du Roi Philippe… Des événements qui, en réalité, expliquent comment Robin Longstride devient Robin Loxley, puis Robin des Bois.

Au cœur… ou presque !
Entre des faits historiques avérés et d’autres purement imaginaires, le scénario de ce Robin des Bois-là opère comme un roman d’ Alexandre Dumas, mêlant le vrai et le faux, brouillant habilement les pistes, ajoutant du romanesque là où il en manquait. Du glamour aussi dans la formation du couple Richard Longstride/Marianne qu’incarnent de manière à la fois moderne et rétro Russell Crowe et Cate Blanchett, un Néo-zélandais et une Australienne. Deux interprètes à la mesure de rôles revisités, réinitialisés.

À la mesure du projet, Ridley Scott l’est tout autant. Juste un cran en-deça de Gladiator, il réussit avec Robin des Bois un formidable film d’aventures historique, un grand spectacle sans temps morts, réaliste dans le tableau qu’il peint de l’Europe du treizième siècle, virtuose à se saisir de personnages stéréotypées pour leur apporter une nouvelle jeunesse, une vigueur inédite. Valable pour Robin, Marianne, mais aussi un Shérif de Nottingham plus veule encore que les précédents, Frère Tuck, Petit Jean…

En dépit d’une fâcheuse tendance au manichéisme (les méchants français sont vraiment abominables, quasi génocidaires à massacrer quiconque se présente à eux) et à un anachronisme près (les péniches de débarquement construites sur le modèle de celles du D-Day !), le film envoie toutes ses flèches dans le premier cercle du cœur de cible.

Merci à un gars d'allo