Predators de Nimrod Antal

Tayelore a écrit:

Aprés je sais pas, si ca se trouve le film est trés bon (vu ce que je lis sur avp) et last airbender sera consacré Cheff d'oeuvre en France .et c'est possible étant donné qu'on défend bcp msieur Shy ici, vu que selon certains (pas quelqu'un comme Bein ) iil a sa signature d'auteur il est juste génial c'est tout. ok pk pas.

Tout a fait tay,de toute façons,le seul juge c'est nous,pas les autres.Pour certain predators est une grosse bouse,est pour d'autre c'est un super film qui redonne c'est lettre de noblesse a la franchise.La question étant"dans quel camps on sera ".

J'ai envie de te dire oui et non à ca.. en tant que spectateur ouii, en tant que spectateur qui aime vraiment les films je crois que c'est vraiment trop compliqué pour qu'on s'accapare un film de maniere primaire en disant juste qu'il est bien parce que on le dit, ou inversement.

sinon comment veux tu qu'un artiste avance? comment veut tu que l'"on" avance.. tout est bien et tout est mauvais en fait? je crois que c vraiment trés compliqué, et je ne crois pas avoir la vérité t'en fais pas.. justement.

Tayelore a écrit:

J'ai envie de te dire oui et non à ca.. en tant que spectateur ouii, en tant que spectateur qui aime vraiment les films je crois que c'est vraiment trop compliqué pour qu'on s'accapare un film de maniere primaire en disant juste qu'il est bien parce que on le dit, ou inversement.

sinon comment veux tu qu'un artiste avance? comment veut tu que l'"on" avance.. tout est bien et tout est mauvais en fait? je crois que c vraiment trés compliqué, et je ne crois pas avoir la vérité t'en fais pas.. justement.

Pas faux,mais yop c'est compliqué .

Critique complète d'Ecran Large :

Citation :

Patrick Antona


Après la jungle équatoriale pour le film original, la jungle
urbaine pour sa séquelle, et l'intermède bien décevant de ses deux
matchs contre Alien, notre prédateur préféré à la coupe rasta et avec sa
« gueule de porte-bonheur » nous revient pour un safari organisé par ses soins.
Sur une planète-réserve où sont violemment déposées ses proies, il s'adonne à son jeu préféré, la chasse à l'homme. Tentant de renouer
avec la formule qui avait fait le succès du chef d'œuvre de McT, Nimrod
Antal, épaulé par Robert Rodriguez qui semble maître à bord, avait les clés en main pour livrer un film d'action badass et furieux qui nous aurait ramené au bon vieux temps de productions pétaradantes
de Joel Silver. Malheureusement, on est bien loin du compte, avec un
suspens qui s'étiole vite fait, sans atteindre le sommet espéré, des scènes
d'action certes efficaces mais malheureusement sabotées par un montage aléatoire, et un sentiment de redite quant à leur originalité. Car le meilleur de la mise en scène réside bien souvent dans des re-créations des moments forts des deux premiers Predator, que ce soit dans les poursuites, les chutes, voire quand les créatures surgissent du néant ou font la pose avant de passer à l'attaque. Mais ses moments (souvent rehaussés par une musique qui est aussi un pompage intégrale des deux premières BO !) apparaissent plus comme un voile servant à masquer un manque d'inspiration flagrante, la direction artistique étant aussi au diapason en ne faisant que rappeler ce que l'on avait vu auparavant. Si Robert Rodriguez est connu pour être un pasticheur de talent au savoir-faire bordélique, on pouvait lui reconnaître un minimum de passion et de sens de l'entertainment, choses qui sont quasiment absentes de ce Predators.

Pourtant il y avait de la matière avec son commando de tueurs aux talents multiples issus de milieux différents (un mercenaire anglais,une sniper israélienne, un serial-killer, un yakuza...) qui se trouve confronté à une menace et un environnement inconnus et qui vont devoir s'allier dans l'adversité. Ce qui faisait la force du film de Mc Tiernan résidait entre ces moments de silence, compréhensibles quand c'est un groupe aguerri qui est envoyé en mission, et les punchlines inévitables qui fait le sel du cinéma d'action hollywoodien. Mais ici, les bavards ont pris le pouvoir, très souvent pour répéter ce que l'on a compris depuis la séquence d'ouverture (et puis nous, on s'est déjà tapé tous les films précédents !). Les personnages n'ont ainsi pas le temps de développer une véritable épaisseur psychologique et leur destin nous est vite indifférent. Entre Adrian Brody qui joue le fier ténébreux à la voix grave avec métier et Alice Braga crédible en militaire tourmentée, seul le côté excentrique de Topher Grace égaré dans ce jeu de massacre arrive à faire réagir de temps à autre par son interaction avec les autres caractères du groupe. D'autres sujets sont assez prestement évacués, comme le yakuza qui aura quand même son moment de gloire
dans un joli duel mano à mano ou Danny Trejo qui est passé faire un coucou avant d'aller bosser sur Machete.
Mais le pire est atteint avec l'irruption de Laurence Fishburne (Nimrod Antal lui devait sûrement des sous depuis Blindés !) aussi injustifiée que vaine et qui plombe une bonne partie du métrage. Son interprétation devrait sonner comme un hommage au colonel Kurtz mais au final on est plus proche d'une parodie qui s'appellerait Predator Movie !

Si meilleur il y a, c'est lorsque les Predators, dont une
nouvelle espèce plus imposante à la face encore plus dentée, entrent en
scène et défouraillent ou étripent à tout va, ou lorsqu'ils utilisent leur
nouvelle vision thermodynamique. Mais il manque une certaine puissance aux empoignades pour que l'on reste scotché à son fauteuil. Même l'introduction des chiens-predators qui se voulait une originalité se réduit à un simple shoot'em up passablement torché qui plus est grandement affecté par des SFX numériques trop voyants. Quant à l'esquisse
d'un soit disant conflit fratricide entre clans de Predators, on est
plus en face d'un simple gadget narratif qu'à une véritable redéfinition d'un
univers que l'on aurait aimé être plus fourni.

Bien en-deçà des attentes espérées, ce Predators est
au final victime d'un manque de parti-pris évident, entre hommage bien
trop servile au film original et volonté d'ouvrir un espace qui n'est
aucunement exploitée. Cela va être très dur de lancer une nouvelle
franchise sur des bases aussi branlantes, mais comme Rodriguez a
l'habitude de foirer un film sur deux, on peut avoir quelque espoir pour
la suite.

http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-15502-83171.php#

Aie aie !

vendest a écrit:

En effet,de toute façons je m'attend pas a du grand film,juste qu'il soit meilleur que les deux AVP(c'est pas trop demander comme même.

A défaut de mieux aussi pour moi.

Citation :

THE VERDICT

Forget all about the overblown comic-book-style Alien vs Predators movies. This brutal fantasy actioner harks back to the original 1987 Predator movie (which starred Arnold Schwarzenegger at his action-man best) and packs the screen with thrills, spills, blood and bullets.

Brody makes an unlikely, though convincing, hero as a mercenary who tries to pull together a disparate group of killers to take on the alien Predators that are after them. Braga is great as the black ops sharpshooter, while Fishburne is perfect as the steely-eyed killer who's seen it all.

One of the best sci-fi action romps for a while.

http://blogs.mirror.co.uk/movies-mark-adams/2010/07/film-review-predators.html

Citation :

With Predators, Rodriguez and Antal have made something old-fashioned, in the best possible way. They just GET what made the original such a hoot - and by and large, have reproduced the same thrills here.

http://www.newsoftheworld.co.uk/entertainment/Action/863923/Predators-15.html

Tayelore a écrit:

Citation :

THE VERDICT

Forget all about the overblown comic-book-style Alien vs Predators movies. This brutal fantasy actioner harks back to the original 1987 Predator movie (which starred Arnold Schwarzenegger at his action-man best) and packs the screen with thrills, spills, blood and bullets.

Brody makes an unlikely, though convincing, hero as a mercenary who tries to pull together a disparate group of killers to take on the alien Predators that are after them. Braga is great as the black ops sharpshooter, while Fishburne is perfect as the steely-eyed killer who's seen it all.

One of the best sci-fi action romps for a while.

http://blogs.mirror.co.uk/movies-mark-adams/2010/07/film-review-predators.html

Tay, la critique que tu viens de relever est vraiment dénuée d'arguments
convaincants, j'ai cliqué sur le lien pour avoir plus de choses à lire,
et ben non c'est le résumé que tu as publié.

On dirait une critique issue d'un TéléStar

Il est fresh pour l'instant sur Rottentomatoes Pourvu que ça dure

http://www.rottentomatoes.com/m/10012256-predators/

Yes et c'est good, mais pour quoi la deux millionnieme fois tu peux avoir 90 prct de bonnes critiques et 6 de moyenne, donc acte y a 100 prct , mais 6,9.

Bon déja, on est loin de l'acceuil Français, à voir la suite.

Tayelore a écrit:

http://www.rottentomatoes.com/m/10012256-predators/

Yes et c'est good, mais pour quoi la deux millionnieme fois tu peux avoir 90 prct de bonnes critiques et 6 de moyenne, donc acte y a 100 prct , mais 6,9.

Bon déja, on est loin de l'acceuil Français, à voir la suite.

Je sens que ça va vite chuter si tu veux mon avis.

Nouvelle critique,vu par le modérateur su site AVPgalaxy.


Predators AvPGalaxy Review


Posted by Corporal Hicks on July 6, 2010 (Updated: 06-Jul-2010)


We
all know why we’re here. We’re fans of Aliens, we’re fans of Predator.
So it goes without saying that everyone reading this review will be
knowledgeable in the Predator franchise and have seen the previous 2
movies more times than they can count. I know I can’t count. Predator
is a brilliant film and Predator 2 is also a good film – not as good as
Predator, let down by hammy acting and not so amazing characters but
the actual parts of the film with the Predator in are just plain
awesome.
We’ve all suffered through the recent Aliens vs Predator films which
have also managed to slap the individual franchises in the face as well
as being bad films all around. We’ve been waiting for a decent Predator
film for a while now.
I didn’t think Predators was going to be it. I’ve read Robert
Rodriquez’s original draft and it was awful. Just plain awful. I also
read that leaked draft of Alex Litvak and Michael Finch and wasn’t that
keen. At all. But I walked out of the cinema a very happy man.

So much in Predators works. The acting in particular is great. All
of the actors portray their characters with the weight and gravitas
that is deserved for killers like these. I remember there being some
concern when Adrian Brody was cast but he carries the role and the
movie. I completely bought into Brody as a mercenary and really liked
his character. Walton Goggins was a favourite of mine. He brought the
laughs to the film through his deadpan comments and humour. I really
enjoyed Stans.

Isabelle, as played by Alice, offers a sympathetic character for
those of us in the audience who aren’t able to relate to the other
killers. I did find it somewhat stereotypical that the less monstrous
character would happen to be a female. And, of course, Topher Grace. He
plays Edwin, an unassuming character who shows no reason as to why he’s
with this group. I found him wonderful. He overplayed nothing and
really came across as this innocent and the odd man out.
Laurence Fishburne, like in the leaked script, doesn’t have much
screen time but he provides the exposition that we need. But more than
that Fishburne portrays him as a schizophrenic which was not in the
original draft by Litvak and Finch and it really brings Nolan into
another area. So instead of being the “exposition character”, the
audience and characters can see what the options for this hunting
planet are. You can die by the blade of the Predator or you can hide
and live and turn into this crazy person who talks to himself. Not much
of an existence and it only goes to further Royce’s determination to
get off the planet.
As an ensemble, it’s easy to believe in the characters and actors.
They’re not in this for the team activities, they’re in this to
survive: Royce especially. One particular moment I loved was when Stans
pulled a blade to Mombasa’s throat, demanding a gun. It was believable
and resonated with the panic the character was feeling. I also liked
the small relationship Edwin and Nikolai struck up. Oleg Taktarov
really played Nikolai as this sort of innocent but deadly bear. It’s an
interesting contrast.

What I think really makes Predators stand up as a better film is
that it takes itself seriously. It would be too easy to slip into that
80′s feel to pay tribute to Predator and make it way to cheesy.
Thankfully none of that happens. There are no ridiculous one liners. No
stupid characters like Tony Pope. This is life or death and the film
does not detract from the severity of the situation these characters
find themselves in.
There are two situations that I didn’t really like. Nolan’s death,
in particular, as he is killed by a shoulder cannon blast. Where
everyone else had a wound or a blast hole in them, Nolan literally
explodes in a shower of CGI gore. Stans’ death was also too over the
top for me. The way it is cut looks like Beserker just leans over Stans
who is still alive and just rips his spine and skull out. It seemed
completely out of place. I wasn’t keen on how they were handled.
There are hardly any homages! There are so few in the film that I
think this deserves a huge shout out. Alien vs Predator and AvP Requiem
ended up being theatrical montages of the best bits of the previous
films. There is none of that here. No forced dialogue from the first
film. The few that are in Predators are extremely small: The chaingun,
Nolan whispering “over here” and of course, the big macho, topless
fight at the end of the movie but that is played out so differently you
can hardly even call it a homage. This is its own film.
In fact, it was John Debney’s score that contained the most material
from the original film. He’s there and he’s telling you “This is a
Predator film!”. I really missed the Predator theme from the AvP’s but
it feels so right in Predators. A lot of motifs and themes from Alan
Silvestri’s score are used in Predators but Debney also adds his own
twist to the material and creates his own unique pieces that really add
to the tension and danger that is being shown on screen.
I’d also like to address the uproar regarding Rodriquez saying he
was ignoring the past 3 films. It feels a lot like Predator and I can
certainly see where he’s coming from in making this a spiritual sequel
to Predator but absolutely nothing in Predators contradicts anything in
Predator 2 or the AvP movies. It fits in perfectly within continuity.
So Predator 2 fans fear not, it hasn’t been erased and completely
negated.

The film takes its time and doesn’t rush into anything. The pace is
steady as the characters discover each other and start to figure out
just how bad their situation is. Antal doesn’t rush into showing us the
Predator but when he does we find the classic Predator strung up. He’s
in the same situation as our characters. Really goes to deepen just how
dangerous this new group of Predators is.
And I have to say, Howard Berger and Greg Nicotero from KNB FX have
done a brilliant job with the new suits. The Predator’s face no longer
looks like rubber, those ridiculous upper teeth are gone. They’ve made
ADI’s efforts look amateur in comparison. The new Super Predators’
designs also looked fantastic on screen.
Their armour and masks are different enough to differentiate them
from the original design but also not overdone like the heavily
armoured linebackers that were Paul Anderson’s Predators. We do only
see the unmasked face of one of the new Predators, the Berserker
Predator who is the leader.
The basic appearance is the same but they do look different. If
you’re willing to accept that the Super Predators are not the same as
the originals then you will not mind the appearance. Thankfully, the
Super Predators are no longer mutants like in the early draft. Their
blood is still green, there is absolutely no mention of them cutting up
prey and genetically altering themselves to become better hunters.
Nolan describes it as “the difference betweens dogs and wolves”. They
are simply a different Predator race/clan or a sub-species.
Due to the number of the Predators, they are not given much chance
to be individualized. They are all portrayed as sadistic, more so maybe
than Anytime from Predator. Traps are set for the characters, they
don’t rush the kills, they take their time and seem to savour the fear.
Carey Jones, Brian Steele and Derek Mears all do a great job in
portraying the patience and grace of the Predators.



The film is more about the humans, the title relating to the
characters more than the group of Predators, I feel. We see just how
determined the characters, Royce in particular, are to survive this and
how they all react under the understandably stressful situations.
The FX are minimalistic and not overdone in the slightest. I can see
how Troublemaker got this done on a small budget and it doesn’t detract
in any way from the film. Certain aspects of the FX are given a touch
up, the cloaking effect has a slight touch up and looks different, as
has the shoulder cannon’s blasts. But none of it seems out of place or
completely ridiculous.
In terms of how the film adds to the existing mythology of the
Predator, we have the concept of preserve planets, this new subspecies
of Predator and additional alien lifeforms: In an attempt to bait out
the Predators, the group actually take out another alien who is being
hunted by the Predators. We know him as Stickman but his design is more
beefy than the concept art we’ve seen.
The Predator Hounds are also introduced and used to test how the
characters react to the situation. The Super Predators use a single
scythe-like blade instead of wrist-blades. This is used to great effect
during the Hanzo duel. One thing I did think that seemed underused was
the “falcon”. It didn’t appear to look like a bird but came across as a
tracking device that didn’t see much screen time. I don’t think it
would have harmed the film if it was removed. Berserker’s shoulder
canon isn’t a mini-gun like in the original draft, it’s back to basics
but it does have a different method of charging up where a component in
the canon whirls up and charges.


Now the climax. A lot of reviews have cited some issues with it. The
film goes from that steady, heart pounding, tension oozing pace to a
relentless action piece. Event after event happens until we get to the
much awaiting Classic vs Berserker fight. It was an extremely brutal
and primal fight but I did find the editing slightly confusing but then
again, the Dutch vs Predator fight in the original also has several
confusing cuts. It also seemed too short to me but more than anything I
think it was done to show just how dangerous these new Predators are. I
really enjoyed the fight but I can’t help but get the feeling that
hardcore fans of the original Predator and Anytime will not like the
fight.
I absolutely loved the end fight with Royce and the Berserker.
Having been told how Dutch defeated the first Predator (Isabelle
somehow knows about the events in Predator. I must admit I was curious
as to how a member of the Israel Defense Force knew about it), Royce
takes the idea, runs with it and completely fucks up Berserker. It was
amazing and once again, I could completely buy into Brody as this
intelligent and ruthless man.
But it’s not all substance, what about style? Nimrod Antal has a
great eye in this. Many of the shots are brilliant, Antal brings some
lovely camera movements into play and it’s this style and eye that
makes Predators stand above the previous entries and rival the original
Predator.
You know, I travelled 4 and a bit hours on a bus, paid £20 on
transport to go see it (hardly free) and had to traverse a confusing
city to get to the cinema. And it was completely worth it. I’m still
excited to go see it again on opening day, I really am.
Don’t get me wrong, I love both original Predator movies but for
acting, story and direction, it blows Predator 2 out of the water and I
consider it just as good as Predator. Despite minor gripes, it’s a
solid action film but more than that, it’s a proper Predator film. It
feels like a true sequel in every sense of the word and for once, I’m
not disappointed.
Rating:

Des critiques d'invités aux avants premières: c'est pas terrible, terrible dans l'ensemble.

http://www.aintitcool.com/node/45684

Citation :

76 %
TOMATOMETER

How does the Tomatometer work
Reviews Counted:26
Fresh:20 Rotten:6
Average Rating:5.9/10

http://www.rottentomatoes.com/m/10012256-predators/

2/5

Citation :

Bien pâle à côté d'un «Cube» qui exploitait avec intelligence une
recette similaire, «Predators» se complaît dans la surenchère d'effets
chocs qui sont loin d'être très spéciaux. L'interprétation figée (dans
le rôle principal Adrien Brody ne fait tout simplement pas le poids,
surtout que son personnage semble toujours tout savoir avant tout le
monde) et la finale interminable ont tôt fait de réduire en cendre les
quelques surprises qui apparaissent périodiquement dans le scénario. Le
vrai «Predator» est mort à la fin du premier film en 1987. Peut-être
qu'il serait temps de laisser son cadavre tranquille plutôt que de
constamment chercher à le ranimer.

http://www.lecinema.ca/critique/1864/

Citation :

Dans l’ensemble, le film est propre mais tristement soporifique, les
scènes d’action ne sont pas illisibles mais elles ne sont pas
passionnantes non plus.
Il n’y a rien dans Predators qui permettra au film de rester dans les
mémoires. Enfin son statut de semi remake servilement inféodé au
premier (bonjour le défilé de références) le dessert totalement. Adrian
Brody torse nu, ça ne délivre pas la même notion de bestialité que
Schwarzie.

http://www.cloneweb.net/critiques/critique-predators/

Citation :

Je sors de la projection du film, et vais entierement dans le
sens de la critique.
En quelques mots:
- Loin loin loin de la
qualite de Predator 1 et 2
- Un peu mieux que les navets AVP1 et AVP2Bref,
fans de la 1ere heure, n'en attendez pas trop, vous risquez la
deception sinon.

http://forums.filmsactu.com/topic10996-critique-predators.html

1,5/5

Citation :

De ce point de vue là, Pretadors s'en tire bien. L'entame est moins soutenue que l'originale mais profite d'une bonne immersion grâce aux sons et aux environnements. Même qualité pour la reconstitution de la jungle, que l'on sent moite et dangereuse. Une bonne impression qui se perd très vite devant le fil narratif linéaire qui nous cloisonne alors que l'on
devrait sentir l'immensité des lieux. Passé les quarante premières
minutes, une vraie baisse de régime se fait sentir. Se pose
alors cette question : à quoi bon ce remake ? Si certains éléments
de réalisation montre une forme de maitrise, on constate que malgré un
producteur réputé audacieux, on se retrouve devant un produit formaté sans grand intérêt pour ceux qui ne mange pas du mythe Predator au petit-dej. Nul message subliminal (le coup de l'homme devenu chassé, on connait). A quoi bon, vraiment, à quoi bon ?

http://www.plan-c.fr/article-critique-predators-de-nimrod-antal-53265415.html

Citation :

A bien y réfléchir, la raison semble évidente : Peut-on détrôner ou rivaliser avec un chef d’œuvre absolu du film d’action ? Au mieux nous aurons une copie aux apparences similaires mais plus faible dans le fond. Et c’est exactement ce qu'est Predators, une pâle copie de l’original mais qui, remis dans le contexte, a au moins le mérite de ne pas trahir cette oeuvre magistrale. Et ça, c’est déjà pas mal !

http://www.paperblog.fr/3394601/critique-en-avant-premiere-predators/

Citation :

Est-ce que je suis au final a deux doigts de vous dire que Predators est mauvais ? Non pas une seconde, le film dans l’ensemble est jouissif par
plein d’aspects et se hisse a des années lumières des daubes de la saga
AVP. Mais en comparaison du 1^er et 2^e volet, il est pile entre les deux. Trop similaire au 1^er dans sa structure, son héros…et pas aussi fou et barré que le deux. A la fois hommage au 1 et retour aux sources à la sauce mexicaine, ce PREDATORS divertit plus qu’il ne surprend. Très honnête dans son respect du matériau d’origine, l’ensemble se retrouve un poil plombé en bout de course par le côté hommage d’un enfant sage. Un très bon divertissement qui malgré tout restera encore longtemps dans l’ombre du petit chef d’œuvre du genre qu’est Predator 1 de John mc Tiernan…

http://blog.landofthegeeks.com/?p=27904

Citation :

Tout démarre pourtant de la meilleure façon. Une entrée brutale, un
générique brut de décoffrage, une jungle et la musique d'Alan Silvestry
reprise et modernisée (pour un résultat très réussi). La sensation
d'être en terrain connu procurera un plaisir immédiat même si le
charisme de Dutch nous manquera dès les premières minutes. L'entrée en
la matière de Predators est donc une succession de promesses toutes plus
réjouissantes les unes que les autres sauf que malheureusement, aucune
ne sera véritablement tenue.

http://www.news-de-stars.com/nimrod-antal/critique-en-avant-premiere-predators-par-jango_mrm96117.html

Citation :

En comparaison du catastrophique Alien VS Predator, épouvantable raclure, ce Predators fait très bonne figure.

http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/critiques/critique-cinema/12002-ipredatorsi-perdus-dans-lespace.html

Citation :

Et la conclusion, laissant la porte grande ouverte à une suite, ne fait
que confirmer que l’ensemble du projet n’est qu’une vaine tentative
opportuniste et purement spéculative de ressusciter un mythe et de
relancer une franchise commercialement rentable. Dommage…

http://www.fan-de-cinema.com/critiques/predators.html

Citation :

Habitué aux environnements confinés, le réalisateur Nimrod Antal peine à
gérer l’immense espace mis à sa disposition. Si sa mise en scène ne
manque pas de peps et parfois d’idées, elle reste néanmoins diluée au
sein d’un récit trop linéaire dont le rythme en dents de scie aura tôt
fait de lasser. Séduisant sur le papier, Predators peine à assumer son
statut de survival hargneux et manque cruellement de sauvagerie. Un
comble !

http://www.clapmag.com/index.php?option=com_content&view=article&catid=6:critiques&id=646:predators