Les aventures de Tintin : Le secret de la licorne de Steven Spielberg

ps: ouais j'ajouterais que aprés en espérant aussi que ils comprennent et respectent dans les grandes lignes du travail des mecs en post prod.. un minimum quoi. s'agit d'un travail d'équipe (meme si oui y en a qui se la "coule" plus douce que d'autres, mais la hormis le role qu'on a qui fait que parfoiiis ca peut donner l'impression de.. c'est aussi et surtout ta maniere d'aborder ce que TU as a faire qui le détermine )

Kaizus a écrit:

darknol a écrit:

Ouais, bon par contre descendre les autres films en perf' capture pour encenser celui dans lequel il tourne, il pouvait sûrement s'en passer. (comme si c'était un argument de vente valide... )

son truc sur Beowulf, je serais bien tenté de lui sortir son "Fuck that dude!"

+1, pas très classe.

ah putain, ça c'est clair, que c'est pas classe du tout, surtout que perso, j'ai adoré Beowulf, et je crois que Steven porte le film de son pote Zemeckis en bonne estime personnel aussi, pour le coup, Jamie aurait pu se taire, il n'aide pas la perf'cap' en défonçant Beowulf pour encenser Tintin., c'est pas porteur pour le coup.

Completement ok.

A savoir que ca balancer surtout sur Peter Jackson qui aurait un peu tendance à être sur 1000 projets à la fois, pas très disponible le monsieur à prioris.
Mais bon comme tu le dis un film ca reste avant tout un travail d'équipe et j'ai entendu mille milliard de plus de plaintes sur Cameron le "casse-burne"

Citation :

Aprés pour en revenir à Bell, à sa décharge il ne dit pas qu'il a tout fait (ce qui est rien que pour les assurances quasiment impossible, puis de toutes les façons il a une doublure cascade qui est Bryan Thompson.)

J'avais vu une conférence avec un réal francais (le gars de taken, un brin prétentieux ) sur une prod besson avec Travolta, qui racontais l'horreur de bosser, pas avec une star, mais avec son assurance.
Et il avouait lui même que les prods faisaient souvent du pipo par rapport à l'argument "star qui fait ses cascades".
Bon il a rajouté en plus Travolta était une chochotte

« Je songe déjà au prochain Tintin. J’ai une idée, ou plutôt, une fois encore, j’ai un lieu, un décor : j’aimerais que tout se passe dans un aéroport, du début à la fin. L’aéroport est un centre riche de possibilités humaines, un point de convergence de diverses nationalités : le monde entier se trouve en réduction, dans un aéroport ! Là, tout peut arriver, des tragédies, des gags, de l’exotisme, de l’aventure... J’ai donc un lieu, il me reste à trouver une histoire » (Hergé, en 1976)

^^

Les premiére critique Belge:

ATTENTION AU SPOILER

Citation :

On a vu Tintin : un grand film d’aventures populaire CINEMA mardi 11 octobre 2011, 15:09

Mardi matin, « Le Secret de la Licorne » a été projeté pour la première fois en Belgique, dans la salle du Grand Eldorado de l’UGC-De Brouckère, à Bruxelles. Nous sommes ressortis de la salle les yeux scintillants comme une boule de cristal.

Le film s’ouvre sur les images d’Hergé au Vieux Marché. L’artiste est au travail. Il brosse le portrait d’un personnage bien connu sur la place dont le spectateur ne voit que les culottes de golf… Quand il tend l’œuvre terminée à Tintin, le tableau a la ligne claire d’une bande dessinée ! Au-delà de l’hommage émouvant au créateur de Tintin, ce stratagème permet au héros de se libérer des cases et d’exister pour lui-même : une autre aventure peut commencer, celle que Spielberg a imaginée pour lui…

A l’écran, Tintin va se trouver une vraie personnalité. Milou n’a plus besoin de parler pour sauver son maître quand il est en péril. Le capitaine Haddock a tout du vrai boit-sans-soif mais c’est la faute à son ancêtre, si chevaleresque qu’il a mis des complexes à ses descendants devenus alcooliques de père en fils ! Au-delà de ces détails familiers, attendez-vous à être surpris. Le réalisateur d’Indiana Jones prend sa liberté par rapport à l’œuvre originale : le château de Moulinsart est en ruines et Monsieur Sakharine, le collectionneur de modèles réduits, cache un méchant plus dangereux que le Docteur Müller… La Castafiore, qui n’avait rien à faire dans cette histoire, est l’invitée d’Omar Ben Salaad et révèle un vrai talent de cantatrice. Il n’y a que le capitaine et Milou pour rester sourds à ses vocalises. Au-delà du scénario, c’est l’interprétation qui nous a convaincus. Andy Serkis réussit un formidable numéro d’acteur en capitaine Haddock. Simon Pegg et Nick Frost font des Dupond-Dupont au « non sense » très british. Daniel Craig transcende Sakharine en un personnage si impressionnant qu’on se demande pourquoi Hergé ne l’a pas creusé davantage. Spielberg réussit même à donner de l’âme à Nestor ! Les décors sont prodigieux et les clins d’œil à la bande dessinée d’une rare pertinence.

Avec ce Secret de la licorne, qui concrétise – enfin – son vieux rêve tintinophile, Steven Spielberg signe et réussit haut la main un grand film d’aventures populaire, au meilleur sens du terme. Rythmé, coloré, plein de relief, le film alterne l’intrigue et le côté jeu de pistes avec un arrière-plan souvent enlevé, léger, parfois même désopilant.

C’est en présentant, il y a trente ans déjà, le premier volet des aventures d’Indiana Jones que Steven Spielberg avait fait, de passage en Europe, la découverte du foisonnant monde d’Hergé.

Ce film, comment le nier, résume trente ans d’amour, et trente ans d’une passion de galopin, celle de Spielberg pour le monde de Tintin. Avec un plaisir juvénile qui se ressent d’emblée – aucun doute possible sur la sincérité de la démarche. Et mis à part une quinzaine de minutes, où le réalisateur d’E.T. sacrifie sans doute inutilement à la loi des cascades chère au cinéma hollywoodien, on ne cherchera pas la petite bête : l’enthousiasme et l’esprit de l’enfance, indissociable du cinéma de Spielberg, nous contaminent ici sans réserves. Le film, que Spielberg viendra présenter à Bruxelles samedi 22 octobre, sera sur nos écrans le 26.

Source: http://mobile.lesoir.be/actualite/belgique/page_11163_869135.shtml

Citation :

Tintin vu par Spielberg: mission accomplie, mille sabords!

C'est le film le plus attendu de l'année: "Tintin et le secret de la licorne", le film de Steven Spielberg d'après la bande dessinée de Hergé, sera montré en première mondiale à Bruxelles samedi 22 octobre prochain. Mais la presse belge a pu découvrir ce film ce mardi en exclusivité. Dans la salle, bien sûr, Hugues Dayez, qui nous livre ses premières impressions.

Un mélange d'excitation et d'inquiétude, voilà ce que ressentaient tous les tintinophiles face au projet de Steven Spielberg et de Peter Jackson d'adapter Tintin au cinéma.

Excitation de voir deux cinéastes parmi les plus puissants et les plus créatifs de Hollywood unir leurs efforts pour porter l'oeuvre de Hergé à l'écran. Mais inquiétude: est-ce l'esprit des aventures de Tintin allait être trahi en franchissant l'Atlantique?

Il n'en est rien: "Tintin et le secret de la licorne" est une réussite exceptionnelle.

En réalité, Spielberg et Jackson ne voulaient ni d'un film avec des acteurs ni d'un dessin animé. Et ils avaient raison car par le passé, ces deux tentatives ont donné des résultats très décevants. Et ils ont choisi une troisième voie: la "performance capture", technique utilisée dans "Avatar" qui consiste à filmer des acteurs en chair et en os, et ensuite à retravailler leur look et les décors dans lesquels ils évoluent en images de synthèse. Cette technique hybride se marie à merveille avec l'univers de Hergé: elle en restitue à la fois le réalisme et la fantaisie.

Quant au scénario du film, il mélange astucieusement "Le secret de la licorne" avec "Le crabe aux pinces d'or", l'album qui raconte la première rencontre entre Tintin et le Capitaine Haddock.

Et même l'humour apporté par les bévues des Dupont/Dupond est au rendez-vous...

Bravo Spielberg! Bravo Jackson! Mission accomplie, mille sabords!

Source: http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_tintin-vu-par-spielberg-mission-accomplie-mille-sabords?id=6897933

Bon,il y a des film au quel il faut certainement attendre les critique pour jauger le film,dans se cas la,moi j'en avait pas besoin .(mais fait plaiz comme même).

merci pour les critiques

ça sent bon tout ça

Cela se sentait déjà à la bande annonce et à la lecture de la critique du Soir, ça se confirme, je sens qu'à la sortie du film, je vais avoir des discussions agitées avec mes potes au sujet des libertés prises dans ce film par rapport aux albums

plusieurs making-of et extraits sur ce lien:

http://videos.dhnet.be/search/?q=the+adventures+of+tintin+secret+of+the+unicorn+extrait+cinebel&orderby=1&way=1&next=1

juste vu celui où milou saute sur la camion de pompier (visible dans la bande annonce), c'est beau

Les critique tombes de par et autres,est le constat est sans appel(une tuerie,un Indiana Jones 4"le vrais",ect)


http://cinema.jeuxactu.com/critique-cinema-critique-tintin-de-spielberg-2011-16393.htm


http://www.cinemateaser.com/2011/10/34614-les-aventures-de-tintin-le-secret-de-la-licorne-chronique


http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-14165-137641.php

Yop, je suis sur que ce sera good, mais je vais attendre d'avoir des retours d"'ailleurs" . et je me ferais de toutes les façons mon idée. parce que tous ces sites francophones, on les a vu en plebiscité d'autres, il y a peu encore..

eh bien

dire que je misais pas grand chose au départ sur ce film bon, à voir d'autres critiques.

La critique US, c'est pas pour tout de suite ?

Des bout de critique(tous on l'air unanime ),sans surprise pour moi .

Citation :

PREMIERE

On n’est pas forcément sûr de tenir ici le chef d’œuvre de son auteur, mais on se retrouve clairement face à l’expression la plus limpide, la plus évidente, de son cinéma. Parce que la plus libre, jusqu’à présent.

L’EXPRESS

On sent toute l'affection qu'il (Steven Spielberg) porte à ses personnages, exploitant leurs faiblesses, comme le penchant pour la picole de Haddock qu'il rend presque lyrique. Cette aventure exaltante, c'est un fragment d'enfance que l'on vient de nous rendre.

LE FIGARO

On pousse finalement un grand ouf de soulagement. Tintin, le globe-trotter bondissant né en 1929 de la main d'Hergé, renaît sous les pixels du troisième millénaire.Tintin, nouvel avatar pour les futures générations de 7 à 77 ans, est toujours aussi rapide, curieux, enthousiaste, reporter dans l'âme. Et il a beau recoiffer sa houppette au début du film, elle rebique immédiatement au premier souffle d'aventure.

Tintin de Spielberg : avis et critiques presse

ECRAN LARGE

Spielberg est parvenu à accoucher d'un film de grande qualité, à la frontière des genres et des supports, auquel il est bien difficile de résister. Bien plus qu'un hommage, son film est une oeuvre autonome et terriblement ambitieuse, qui amènera tout ceux qui n'éprouvaient devant les travaux d’Hergé qu'un ennui poli, à réviser leur jugement.


TELERAMA

Passée la surprise, passé le temps d'acclimatation, cette vision n'a rien de déplaisant : ce Tintin-là n'est pas l'imposteur aperçu dans les quelques films tournés jadis en prises de vues réelles ; il n'est pas non plus ce double grossièrement animé des séries télé des années 90. Ce Tintin-là convainc, au même titre que le capitaine Haddock, qu'il rencontre bientôt dans une cabine du Karaboudjan, navire dont ils sont tous deux prisonniers.


CINEMA TEASER

LE SECRET DE LA LICORNE déborde tant d’émotions fortes, d’un humour irrésistible, d’amour pour le cinéma, et affiche une telle identité autant qu’un véritable respect pour Hergé, qu’il en est tout simplement irrésistible. Si bien qu’il faudra sans doute de nombreuses visions pour parvenir à en épuiser toute la richesse. La preuve une fois de plus qu’en matière de pur divertissement haut de gamme, Spielberg n’a définitivement pas de concurrent.

EXCESSIF

Visuellement, Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne se rapproche plus de la réussite de La Planète des singes que des regards vides des personnages du Drôle de Noël de Scrooge. Les textures et le photo réalisme permettent de croire rapidement au jeu de Jamie Bell et du reste du casting. Un très bon point. Surtout, Steven Spielberg se sert pleinement des possibilités du tout numérique et de la 3D. Il modélise donc quelques plans séquences magistraux où l'infiniment petit communique avec l'infiniment grandiose et où le premier plan répond au second dans le même tempo.

CINEVIBE

A défaut de transcender l’album d’Hergé, Steven Spielberg le retranscrit avec un amour et une fidélité qui inspirent le respect. Le géniteur d’E.T. s’amuse et retrouve son âme d’enfant, du coup nous aussi !

UNIFICATION

Tintin va marquer le grand retour de Steven Spielberg sur le devant de la scène. […] Le génie est enfin ressorti de sa lampe et on en redemande. En regardant le film, on ressent la jouissance que la réalisation de Tintin a pu lui donner. Inventivité, rythme, humour, la patte Spielberg est de retour et on ne va pas s’en plaindre.


ACTUA BD

Sans temps mort, pendant une heure quarante-sept, le spectateur a peine à reprendre son souffle. Les cascades se multiplient et Milou en particulier joue un rôle très important. Les scènes de combat entre Le Chevalier de Hadoque et Rackham le Rouge sont époustouflantes.

FOCUS VIF

Du grand spectacle, en somme, exaltant les qualités de conteur d’Hergé à travers celles d’un Spielberg à l’enthousiasme communicatif.


LE SOIR

A l’écran, Tintin va se trouver une vraie personnalité. Milou n’a plus besoin de parler pour sauver son maître quand il est en péril. Le capitaine Haddock a tout du vrai boit-sans-soif mais c’est la faute à son ancêtre, si chevaleresque qu’il a mis des complexes à ses descendants devenus alcooliques de père en fils ! Au-delà de ces détails familiers, attendez-vous à être surpris.

Hmmm meme avis a lire ces critique. je suis sur que ce sera good, mais y a quelque chose meme qui me conforte dans mon idée que c'est pas totalement ça.

aprés à se faire son avis, soit meme

En tout cas, quoiqu'on en dise, je suis impatient comme un gamin qui sait ce qu'on va lui offrir pour son anniversaire mais qui doit attendre le jour J pour ouvrir son cadeau et jouer avec

Cool.

Citation :

Verdict:

Like the 3D, an adventure that’s serviceable but doesn’t reach out and grab you as often as you’d expect. Frenetic to a fault, it’ll divert the under-10s; older viewers may feel there’s not enough lift in the quiff.

http://comicbookmovie.com/fansites/rorschachsrants/news/?a=48075

La chose qui me frappe le plus, en lisant les retours de la presse, c'est la confusion presque systématique entre les termes motion capture et performance capture.

Extraits en vf:

http://www.slashfilm.com/early-buzz-tintin-reviews/?utm_source=Movie+Magic&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A+slashfilm+%28%2FFilm%29

Positif mais loin d'être la folie.
Et ça confirme pas mal de choses que j'ai lues, assez nuancées, voir mitigées :

http://www.rottentomatoes.com/m/the_adventures_of_tintin/


A voir!

Comment ça envoie... Aller, plus que quelques jours.

Je suis toujours aussi impatient